Pendant que bruissent les songes aux interstices de nos nuits
au Magicien d’Oz
La nuit se dépèce en gerçures de lumière. Ton ombre – à peine conquise sous mes parterres de lune morcelée. Des tessons d’étoiles me font éclore.
Je dénombrais mes désillusions de feu, cratères désordonnés qui ont ébouillanté mes terreurs, me
conduisirent à toi…
Dans l’or-dinaire jaillit le précieux de ton être.
On bafouille des artifices, prêts à bondir de nos poitrines pour ensevelir la
nuit
– La fonte de nos étoiles
En un bouillant tumulte
Vers nos rivages intimes –
Métallurgie des cœurs, méta-
Lueurs
Pour embraser nos propres
Peurs
(qui clignotent éhontément
sous la paupière fébrile)
Ta paume funambule,
Subtil
Contre-poids de lumière
Je dénombrais mes désillusions de feu, cratères désordonnés qui ont ébouillanté mes terreurs, me
conduisirent à toi…
Dans l’or-dinaire jaillit le précieux de ton être.
On bafouille des artifices, prêts à bondir de nos poitrines pour ensevelir la
nuit
– La fonte de nos étoiles
En un bouillant tumulte
Vers nos rivages intimes –
Métallurgie des cœurs, méta-
Lueurs
Pour embraser nos propres
Peurs
(qui clignotent éhontément
sous la paupière fébrile)
Ta paume funambule,
Subtil
Contre-poids de lumière